Qui l’eut cru? Pour du gros, il faut pêcher gros… C’est ce que nous allons voir à travers cet article…ou pas.
Nous partons en ce mardi de novembre pour le Bourget, sur le bateau de Ced, pour une dernière session de l’année sur les lacs alpins. Le temps est au beau fixe mais ça meule. Nous mettons à l’eau après 10 h et pour ne pas déroger à la règle, nous attaquons dans 15 m d’eau au dessus des bancs de perches et balançons de gros parpaings juste au dessus… Il doit bien rester encore quelques brochets actifs dans ces cantines ambulantes.
Mais au bout d’une heure pas la moindre touche, même en drop shot au milieu des bancs de poissons, aucune perche ne daigne prendre nos montages. Nous décidons donc de changer de secteur. Nouvelle stratégie en place, nous essayons sur les plateaux, dans moins d’eau (dans les 9-10 m). Nous prenons une première châtaigne, puis une seconde… mais nous ne parvenons pas à piquer les poissons. Surement des petits becs qui ont les yeux plus gros que le ventre.
Nos estomacs nous réclament de les ravitailler, et nous décidons d’aller sur les plateaux voir si des poissons sont montés, les pêcher en drop shot et en mangeant de l’autre main. Puis changement de plan: “allons d’abord voir plus au large…”
Nous trouvons quelques échos de poissons au sondeur, on va tenter ici… le sandwich dans une main, la canne dans l’autre, nous espérons que quelques perches se laisseront tenter par nos leurres en 2 pouces. BOUM grosse touche… c’est lourd…
Le pire c’est que 20 minutes plus tard, sur un autre secteur ayant la même configuration, je me fais de nouveau atteler, mais le 20/100 ne tiendra pas le coup cette fois-ci… Alors gros leurres pour gros poissons?
A plus
